Collège François-de-Laval Natation féminin 2024

Les Alérions se sont présentés avec une équipe féminine composée de Beatricia Detisin (3e sec.), Alexia Ouellet (5e sec.), Juliette Déry (2e sec.), Simonne Raff (1re sec.), Martha Barabé (1re sec.), Chloé Larouche (3e sec.), Gabrielle Michaud (2e sec.), Emy Gauthier (3e sec.) et Victoria Proulx (3e sec.).


L‘équipe de natation féminine Les Alérions du Collège François-de-Laval a participé au Défi des champions qui regroupait les meilleurs nageurs et nageuses des écoles secondaires de la grande région de Québec, samedi dernier.

Pour atteindre la finale, l’équipe féminine des Alérions devait passer à travers deux rondes préliminaires ainsi qu’une demi-finale. Les Alérions affrontaient les Mousquetaires des Compagnons de Cartier et les Rafales de La Malbaie lors de la première ronde. Les Alérions commencent par encaisser une défaite après une ronde plutôt difficile. L’équipe d’entraîneurs a dû brasser les cartes afin de permettre à l’équipe de se rendre le plus loin possible. En changeant de stratégie, les nageuses ont surpris leurs deuxièmes adversaires en l’emportant 5 à 2 contre les Athlétiques de la Polyvalente de L’Ancienne-Lorette. Cette victoire ouvrait la porte des demi-finales.

En demi-finale, les cartes devaient être brassées de nouveau pour avoir des chances de passer en finale. Après une seconde victoire de 6 à 1 contre l’Embâcle de la Polyvalente Benoît-Vachon, le chemin était pavé vers la finale pour une deuxième année consécutive.

Lors de la finale, les Alérions devaient affronter les Condors de Saint-Jean Eudes qui n’avaient perdu qu’une seule nage durant tout le tournoi. Un défi de taille attendait donc les neuf filles du CFDL. L’équipe a finalement baisser pavillon à l’issue de cette finale.

Les entraîneurs se sont montrés très fiers de leurs nageuses, affirmant qu’elles ont su faire preuve de résilience. « Chacune a fourni un effort incroyable afin de permettre à l’équipe d’atteindre la grande finale, d’autant plus que nous avions une majorité de filles de 1ère à 3e secondaire et que nos adversaires étaient en forte majorité de 3e à 5e secondaire », a conclu l’un des entraîneurs.

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