L'Écho de François

L’équipe de L’Écho de François en plein travail; les journalistes-élèves Jade Bilodeau, Martha Barabé, Simone Raff, Flavie Bourget et Gabrielle Michaud. Le professeur-éditeur est M. Patrick Signe. Étaient absents lors de la photo : Maélie Launay, Jeffrey Harvie-Mailloux et Fiona Thaïs Guignard.

 

_____________________________________________________________________________________________________par: Flavie Bourget, élève-journaliste

Voilà des décennies que le journal L’Écho de François existe au sein du Collège François-de-Laval. Voici les coulisses de cette activité parascolaire soutenue par une équipe d’élèves passionnés.

Ce projet touche huit apprentis journalistes qui, depuis le début de l’année, travaillent sur la première et toute nouvelle édition de 2024. Celle-ci regroupera diverses catégories comme Les découvertes, L’école, et autres. Cette activité sert avant tout à donner aux élèves la possibilité d’exprimer leurs opinions et leur voix librement. Tout en faisant partie d’une belle équipe, cela permet également de diffuser des informations sur les activités du Collège ainsi que sur divers évènements extrascolaires. « Ce journal, ce n’est pas seulement pour les personnes qui aiment écrire, mais c’est aussi pour partager de l’information. C’est le rôle d’un bon citoyen même si le journal n’est pas du tout politisé. C’est juste le fait de partager ses connaissances » raconte Patrick Signe, éditeur et superviseur en chef de L’Écho de François.

Les démarches pour réaliser ce projet sont échelonnées sur plusieurs réunions tenues par l’éditeur. Le journal doit être assez complet et intéressant; chaque journaliste-élève doit écrire au moins un article qui peut être de son choix. Néanmoins, lorsque des activités culturelles sont présentées, des élèves peuvent être invités à couvrir l’évènement et interviewer d’autres élèves et le personnel enseignant sur place. Puis, à mesure que les articles sont rédigés, les élèves peuvent commencer à les relire et à les réviser. En groupe, ils expriment leurs opinions sur les textes, ce qui entraîne une forme d’autocorrection plutôt efficace. « Je suis heureux de faire partie de ce parascolaire, nous avons des nouveaux membres intéressés par le métier de journaliste. C’est un groupe génial, soudé avec un dynamisme incroyable », soutient Patrick Signe.

L’équipe du journal est heureuse d’avoir enfin une plus grande reconnaissance de son art et de son travail. Malgré le fait que ça fait des décennies que ce journal existe, il n’était jamais publié auparavant. Aujourd’hui, grâce à l’informatique, L’Écho de François rejaillit enfin sur sa communauté.

 

retour haut de page